IL ETAIT UNE FOIS LOIC LE RIBAULT, CHERCHEUR SPECIALISE DANS L'ETUDE DES GRAINS DE SABLE AU MICROSCOPE ELECTRONIQUE.
Loïc Le Ribault est amené un jour à malaxer une solution composée de grains de sable, particulièrement riche en silice organique. Il y plonge la main droite, et découvre deux jours plus tard que son psoriasis a disparu. Intrigué, il retente l'expérience et reconstate le même phénomène.
Pour poursuivre des recherches sur les étranges propriétés
thérapeutiques de cette molécule de silicium organique, il s'associe
avec Norbert Duffaut, chimiste à l’université de Bordeaux, et va ainsi continuer
des travaux entamées depuis 1957.
Le Ribault met alors au point en 1994 une molécule de la même famille que
les précédentes, mais buvable et encore plus efficace, qu’il appelle “G5”.
Le G5 est totalement assimilable par l’organisme humain, animal, et
végétal, ne présente aucune toxicité, n'a
aucun effet secondaire, et a l'avantge d'être compatible avec
toutes thérapies.
Ce n'est pas un médicament, même s'il agit comme anti-inflammatoire,
comme anti-douleur, et renforce les défenses immunitaires
de l'organisme, ainsi que toutes les cellules du corps.
Son efficacité est prouvée par des test officiels, ainsi que
par de nombreux medecins et quelques 30 000 patients.
Mais le silicium organique ne reçoit pas la validation officielle des autorités médicales françaises.
Aprés avoir refusé de vendre ses brevets aux laboratoires pharmaceutiques (10.000.000 de francs pour ne manifestement pas les utiliser), il publie ses résultats dans la presse. Des milliers de personnes se trouvent intéressées.
L'Ordre des medecins qui refuse de reconnaitre les actions de cette molécule, porte plainte contre le chercheur.
C'est à ce moment que Loïc Le Ribault part installer une clinique
dans les Caraibes britanniques pour laquelle il a recu un agrément
officiel.
Lors de son retour en France pour une nouvelle tentative d'agrémentation,
trois mois plus tard, un mandat d'arret a été déposé
contre lui, il est mis en prison, même si aucune plainte de clients
n'a été enregistré. Il est libéré deux
mois plus tard assigné à résidence dans le département
de la Gironde.
Il se réfugit peu aprés en Belgique, pour échapper à
une nouvelle arrestation.
Aujourd'hui il poursuit ses recherches en Irlande. Seuls les pays du Commonwealth reconnaissent le produit, et en autorise la fabrication et la distribution.
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